Le problème du banc, une situation persistante
Déjà critique envers les conditions de voyage de la sélection camerounaise, Marc Brys a une nouvelle fois dénoncé une situation récurrente : l’absence de son assistant, Joachim Mununga, sur le banc de touche. Une décision qu’il juge incompréhensible et qui l’empêche de travailler sereinement.
« Quand nous faisons quelque chose de mauvais, nous devons en tirer des enseignements pour faire mieux. C’est une situation face à laquelle nous ne pouvons pas lutter. Une fois de plus, mon assistant n’est pas sur le banc. Encore une fois, il y a beaucoup de négativité. »
Le technicien belge, manifestement frustré, a mis en cause les tensions persistantes entre son staff et la Fédération Camerounaise de Football (Fécafoot).
« Si le Président du Cameroun dit que ça doit s’arrêter, et tout le monde est d’accord là-dessus, alors je dois choisir qui est sur le banc et qui ne l’est pas. Or, ce n’est pas le cas. Je mets quatre coachs sur le banc, mais j’en ai besoin d’un en particulier, et celui dont j’avais besoin n’était pas là. Je ne suis contre personne. Ce n’est pas mon combat. Je suis venu ici pour performer, mais c’est toujours une situation hostile que je ne veux pas. Laissez-moi travailler. »
Un bon état d’esprit malgré l’insatisfaction
Si l’ambiance en coulisses est tendue, Marc Brys reconnaît tout de même la solidité mentale de son groupe. Il a salué l’engagement de ses joueurs, tout en regrettant le manque d’efficacité devant le but.
« Nous avons joué un bon match, créé de bonnes occasions, mais nous n’avons pas réussi à marquer. Je suis satisfait du jeu proposé, mais pas heureux du résultat. Les joueurs, eux, sont déçus car les problèmes récurrents ont perturbé notre préparation. Nous devons désormais rester concentrés sur le prochain match et travailler notre philosophie du jeu. Nous souhaitons pouvoir nous entraîner en paix. »
Prochaine étape : la Libye
De retour au Cameroun depuis ce 20 mars 2025, les Lions Indomptables entament leur préparation pour leur prochain match contre la Libye. Un rendez-vous décisif pour redorer leur blason après cette contre-performance.
Toutefois, sur les réseaux sociaux, de nombreux internautes et observateurs pointent du doigt la Fécafoot et son président Samuel Eto’o, qu’ils accusent de mettre des bâtons dans les roues du sélectionneur belge. Ce dernier ne l’a d’ailleurs pas caché en s’exprimant ouvertement sur le sujet auprès du deuxième vice-président de la Fécafoot lors du voyage retour vers Yaoundé.
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Source: lattaquant