Ainsi, les autorités camerounaises ont officiellement reçu le rapport confirmant que ces deux infrastructures respectent les normes internationales imposées par la CAF.
Cette décision soulève des interrogations, notamment concernant le stade de Japoma, longtemps considéré comme un des joyaux des infrastructures sportives du pays. Alors que beaucoup pensaient que ce stade, situé à Douala, serait également validé, le rapport de la CAF laisse planer le doute. Les raisons précises du rejet de Japoma n’ont pas encore été clairement communiquées.
Avec cette évaluation, les regards se tournent désormais vers la Fédération camerounaise de football (FECAFOOT) et le Ministère des Sports (Minsep), qui ont récemment apaisé leurs tensions. Alors que les internautes spéculent sur les possibles conséquences de cette nouvelle, plusieurs observateurs estiment que l’harmonie retrouvée entre la FECAFOOT et le Minsep devrait permettre d’aborder cette situation sans polémique majeure.
La date d’entrée en vigueur de cette nouvelle évaluation reste à déterminer, mais elle pourrait avoir un impact significatif sur les futures compétitions internationales que le Cameroun espère accueillir. La réaction officielle de la FECAFOOT est donc attendue dans les prochains jours, afin d’éclaircir les perspectives pour le football camerounais sur la scène continentale et internationale.
Source: lattaquant
