En effet, cette candidature a été marquée par des rebondissements. Initialement écarté en janvier 2025 par le comité de gouvernance de la CAF en raison de précédentes sanctions, notamment une suspension de six mois par la FIFA en septembre 2024 pour comportement offensant envers les principes du fair-play, Samuel Eto’o a fait appel de cette décision auprès du Tribunal arbitral du sport (TAS). Le 7 mars 2025 et comme relayé par LATTAQUANT, le TAS a statué en sa faveur, ordonnant à la CAF de réintégrer sa candidature pour les élections du 12 mars.
Outre Samuel Eto’o, plusieurs autres candidats se présentent sans opposition pour des postes au sein du Comité exécutif de la CAF :
•Kurt Okraku (Ghana) pour la zone de l’Union des fédérations ouest-africaines de football B (WAFU B)
•Mustapha Raji (Liberia) pour la zone WAFU A
•Wallace Karia (Tanzanie) pour la zone du Conseil des associations de football d’Afrique de l’Est et centrale (CECAFA)
•Sadhi Walid (Algérie) pour la zone de l’Union nord-africaine de football (UNAF)
Le président actuel de la CAF, Patrice Motsepe, se présente également sans opposition pour un second mandat de quatre ans.
L’élection de Samuel Eto’o au Comité exécutif de la CAF renforcerait la présence camerounaise au sein des instances dirigeantes du football africain, ouvrant la voie à une influence accrue dans les décisions futures concernant le développement du sport sur le continent.
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Source: lattaquant
